Le soleil fuit sa course
Visages froids suspendus et pesants
Sous nos yeux,
Les chairs se multiplient
Déviantes, au bord du gouffre
Quand l’espace se réduit encore
J’attends la nuit persienne
Venir clouer le jour
Pour qu’enfin
Sans conscience ni savoir
Je te couche sur mon propre désordre
Aria Hastings
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